Hakkımda

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Şişli / İstanbul, (0533 2490843) vildan_ornadis@hotmail.com, Türkiye
Chers abonnés et visiteurs du blog;Tout au long de ma vie scolaire,j’ai reçu un enseignement français.Après avoir terminé le collège français “Sainte-Pulchèrie” j’ai continué à ma vie lycéenne au “Lycée Français Saint-Michel”.J’ai reçu mon diplôme de fin d’études secondaires 3 ans plus tard. À la suite du lycée,j’ai étudié la philologie et la littérature française à “L’Université d’Istanbul, dans “La Faculté des Lettres”;simultanément j’ai étudié la formation pédagogique à L’Université d’Istanbul,dans“La Faculté d’Éducation”(“Formation à L’Enseignement”).Après 4 ans d’études de double licence je suis diplômée en tant que philologue,aussi professeur de français.Toutes les formations que j’ai acquises m’ont perfectionnée dans les domaines tels que la langue, la littérature et la culture française ainsi que la formation pédagogique. Depuis 11 ans, je partage mes connaissances avec ceux qui veulent apprendre la langue,la culture et la civilisation française. J’enseigne les gens de tout âge et de tout niveau depuis les élèves des écoles françaises,jusqu’aux étudiants de diverses universités sans oublier les hommes ou femmes d’affaires ni les amateurs de la francophonie

Présentation

Sevgili Blog Takipçileri;
Tüm eğitim hayatımı fransızca gördüm. İstanbul'da bulunan‘’Özel Sainte-Pulchérie Fransız Kız Ortaokulu’’nu bitirdikten sonra liseyi İstanbul'da bulunan ''Özel Saint-Michel Fransız Lisesi’’nde okudum. Ardından ‘’İstanbul Üniversitesi Edebiyat Fakültesi Batı Dilleri ve Edebiyatları Bölümü‘’ içinde yer alan ‘’Fransız Dili ve Edebiyatı Anabilim Dalı’’nda dört yıllık lisans eğitimimi tamamladım.Bu süre içerisinde ‘’İstanbul Üniversitesi Eğitim Fakültesinde Pedagojik Formasyon’’ alanında eğitim görüp çift anadal diploması aldım. Böylece hem filolog (Dilbilimci) hem de öğretmen olarak mezun oldum. Aldığım bütün bu eğitimler bana hem Fransız Dili, hem Fransız Edebiyatı hem de Pedagoji alanlarında büyük bir yetkinlik sağladı. Onbir yıldır teorik olarak edindiğim tüm bilgileri, pratikte bu dili ve kültürü öğrenmek isteyen her yaştan her gruptan kişilere aktarıyorum. İstanbulda bulunan fransız kolejlerinde eğitim gören öğrenciler başta olmak üzere üniversite öğrencileri, iş adamları, fransız kültürüne meraklı olup kendini geliştirmek isteyen her yaştan her meslek grubundan kişiler meslek hayatım süresince öğrencim olmuştur ve olmaya devam edecektir.

EĞİTMENLİK YAPTIĞIM ALANLAR ►

MES DOMAINES D'ENSEIGNEMENT-EĞİTMENLİK YAPTIĞIM ALANLAR

Grammaire – Littérature – Biologie ( Pour les élèves des écoles françaises - Fransız kolejlerinde eğitim gören öğrenciler için )

Préparation au concours organisé par L'Université de Galatasaray - Galatasaray Üniversitesi iç sınavına hazırlık

Préparation au concours de langue étrangère - YDS (Üniversite Yabancı Dil sınavı) ye hazırlık

Toutes sortes de conseils d'orientation scolaire en France (licence, master) - Fransa’da yüksek öğrenim (lisans , yüksek lisans) görmek isteyen öğrencilere, üniversite seçimlerinden motivasyon mektubu yazımına kadar her türlü alanda eğitim danışmanlığı

Etudes spéciales (privées ou en groupe) pour les adultes -Yetişkinler için kişiye özel birebir ve grup çalışmaları

Cours de la langue Turque (grammaire - conversation) pour les étrangers - Yabancılara türkçe (dil bilgisi ve konuşma) dersleri

BLOGU BİRLİKTE GELİŞTİRELİM (Développons ensemble le contenu du blog)

Le contenu du blog est bilingue. Le blog sera développé grâce à la contribution des abonnés. On présentera les oeuvres des écrivains français, on partagera des résumés ainsi que des analyses et des commentaires sur le blog. Pour mieux concevoir la littérature contemporaine, on va traiter les nouveaux auteurs et courants, on va discuter sur les extraits de leurs oeuvres pour autant la littérature classique et antique. On va honorer les célèbres auteurs classiques en parlant de leurs oeuvres et des courants qu'ils ont initiés à la très chère littérature française. Parfois, on parlera d'une époque soit artistique, soit historique; ou bien on va donner des informations générales ou spécifiques sur la France, la culture française etc...
Pour tout cela il est nécessaire que nos abonnés soient en contact et en collaboration avec nous.

İçerik hem türkçe hem fransızcadır. Siz takipçilerin katkılarıyla gelişecektir blog yazıları. Fransız yazarların eserlerinin tanıtımı kimilerinin özetleri, farklı dönemlerden yazarlar ve eserleri hakkında analiz ve yorumlarla çeşitlendireceğiz blogumuzu. Klasik edebiyata olduğu kadar çağdaş metinlere de önem vereceğiz yeni yazarları işleyeceğiz eserlerinden alıntılar yapacağız. Kimi zaman bir dönemi ele alacağız, bazen de Fransa ile ilgili genel bilgiler, tanıtımlar yapacağız. Katkılarınızı bekliyoruz...

Merci Bien - Teşekkürler

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Böylece,bir gün üyesi olmayı hedeflediğimiz Avrupa Birliğine katıldığımız zaman farklı kültürlere uyum sağlamakta zorluk çekmeyeceğiz.

10 Ağustos 2010 Salı

GILBERT BECAUD


• Il est né à Toulon le 24 octobre 1927. son vrai nom est François Silly. Le nom de Bécaud vient de Louis Bécaud avec qui sa mère partage la vie après le départ de son mari. Il le porte depuis que son père quitte la famille.
• Il est entré au conservatoire de Nice et il préfère la musique. “Monter à Paris” signifie “aller à Paris” pour ceux qui habitent dans le sud de la capitale. Pour gagner sa vie, il a commencé à jouer du piano dans les cabarets et les clubs.
• Tout d’abord, Bécaud a composé une chanson pour Marie Bizet, ensuite grâce à elle, il a rencontré Pierre Delanoë, Jacques Pills et d’autres personnages connus du monde musical français.
• En 1952, il a pris l’habitude de porter un costume bleu et une cravate de pois sans lesquels il ne monte jamais sur la scène.
• Pierre Delanoë et Louis Amade sont les deux grands paroliers qui ont signé les succès de Bécaud.
• L’Olympia, cette salle de spectacle a réouvert ses portes après vingt-cinq ans d’abandon avec le concert de Bécaud. En 1954, Bécaud est remonté sur la scène devant les jeunes, qui, par l’énergie incroyable du chanteur, ont cassé les sièges et cet événement qui était très rare a donné des surnoms à Bécaud.
• Monsieur Dynamite et Monsieur 100.000 volts sont ses deux surnoms.
• Il a écrit qqs dizaines de chansons. “Nathalie”, “Je t’appartiens”, “L’important c’est la rose” sont ses trois chansons les plus célèbres.
• Il commence à écrire pour les jeunes chanteurs qui font de la musique yé-yé. Charles Aznavour aussi a su faire la même chose.
• La mort d’Edith Piaf et celle de l’auteur Cocteau ont marqué Bécaud, en 1963. Surtout celle de Cocteau qui l’avait encouragé à ses débuts et au moment de ses premiers passages à L’Olympia.
• Il vieillit, le rythme de vie l’épuise. De plus il boit et il fume bcp.
• La comédie musicale “Madame Roza” a eu lieu en 1986. ce spectacle a été représenté pour la première fois aux Etats-Unis. On l’a joué à Paris en 1996. Annie Cordy tenait le rôle de vedette de ce spectacle.
• En 1991, il prend la décision d’abandonner la scène. À la suite de la mort de sa mère et celle d’Yves Montand il prend cette décision. En 1992, il écrit un nouvel album.
• En novembre 1999, il est remonté la dernière fois sur la scène de “son” Olympia. Il y a passé 33 fois. Le public l’a toujours adoré.
CHOPIN

Chopin est né le 1er mars 1810 près de Varsovie et fut baptisé dans l’église du village de Brocho près de Sochaczew. Son père, Nicolas Chopin, français, quitte la France ayant 16 ans pour la Pologne en 1787 et épouse Justyna Krzyçanowska, dame d’honneur de la comtesse Skarbek en 1806. Frédéric est le second des quatre enfants. Ses trois soeurs sont prénommées Ludwika, Izabella et Emilia, qui, a disparu à l’âge de quatorze ans.
Le musicien poète Frédéric Chopin, formidable génie du clavier est romantique; c’est un compositeur méticuleux. Mis à part les deux concertos et les trois sonates pour piano, Chopin n’écrit que des “miniatures” pour piano solo. Leurs titres et leur atmosphère musicale reflètent idolement les thèmes du romantisme alors en vogue, comme les nocturnes, pièces douces et rêveuses ou les préludes qui souvent laissent imaginer ce qui peut s’ensuivre.
Chopin demeurera toute sa courte vie, “un patriote” de Pologne, malgré les origines françaises de son père et malgré le fait qu’il est resté une bonne partie de sa vie à Paris. S’il écrivit des mazurtas et des polonaises, c’était donc pour se rappeler de sa terre natale mais c’était aussi dans le but d’exercer une fascination sur les mélomanes des salons parisiens en leur offrant une musique étrangère, plus exotique.
Tristan et Iseut

C’est une des plus importantes oeuvres du Moyen-Age. Je partage avec vous un large résumé de cette extraordinaire histoire d’amour impossible qui passe entre Tristan et Iseut. J'espère que vous le lirez avec plaisir et que vous ferez des commentaires sur le récit...

Résumé du récit
Rivalen, le roi de Loonois vient combattre en Cornouailles aux côtés du roi Marc pour l'aider à se défaire de ses ennemis. Il tombe amoureux de Blanchefleur, la soeur du roi. Le mariage de Rivalen et Blanchefleur est célébré à Tintagel. Mais Rivalen doit retourner se battre sur ses terres. Les jeunes mariés arrivent en Loonois. Rivalen met Blanchefleur, enceinte, en sécurité et part au combat. Il meurt avant la naissance de leur enfant. Trois jours après Blanchefleur meurt à son tour de chagrin en mettant au monde un fils, Tristan, qui doit son prénom à ce jour de tristesse. Tristan est élevé par Gouvernal qui lui donne une très bonne éducation et lui apprend le maniement des armes, la chasse et le chant.
Un jour, le jeune Tristan est enlevé par des marchands norvégiens qui l'abandonnent en Cornouailles. Recueilli à la cour du roi Marc, son adresse et ses talents musicaux lui valent d'être remarqué par le roi. Gouvernal, à la recherche de son élève, se rend en Cornouailles. Lorsque le roi Marc apprend que ce jeune garçon est le fils de sa sœur, il décide de le prendre sous sa protection.
Chaque année, le royaume de Cornouailles est soumis à un lourd tribut : C'est le géant Morholt qui chaque année se rend en Cornouailles et vient chercher son dû. Aucun des barons n'est prêt à se battre pour faire cesser cette injustice. Tristan, lui, se propose de lutter contre le géant. Il demande à son oncle de le faire chevalier pour qu'il puisse affronter le Morholt. Le combat est long et surhumain. Finalement Tristan parvient à terrasser le géant, mais il a été blessé par l'épée de son ennemi. L'arme du géant étant empoisonnée, Tristan semble condamné à une mort certaine. Il embarque seul dans une barque avec sa harpe et ses armes. Sans voile et sans rame, il laisse sa barque dériver, espérant, soit trouver une mort libératrice, soit une guérison inespérée.
La barque accoste en Irlande. La reine du pays entend un musicien jouer de la harpe. Elle est séduite par sa musique . Elle indique à Tristan qu'elle est disposée à le soigner , s'il consent à enseigner son art à sa fille Iseut. Tristan sait que la reine qui se propose de le sauver n'est autre que la soeur du Morholt , le géant qu'il vient de tuer . Il décide donc de changer d'identité et se fait passer pour Tantris. Guéri, il rentre en Cornouailles. Il doit alors affronter la jalousie des barons de son oncle. Craignant que le roi Marc ne fasse de Tristan son héritier, ceux-ci pressent le roi de se marier pour donner à son royaume un descendant. Le roi Marc accepte d'épouser la plus belle du monde, celle dont un cheveu blond a été déposé par une hirondelle sur sa fenêtre.
Soucieux de se débarrasser de ce neveu encombrant, les barons s'arrangent pour que ce soit Tristan qui soit chargé d'aller demander la main de la jeune fille pour son oncle. Tristan , qui a reconnu le cheveu d'Iseut , accepte de se rendre en Irlande.
Il débarque en Irlande déguisé en marchand. Il apprend alors qu'un dragon enlève chaque jour une jeune fille et que la reine a promis la main de sa fille à celui qui tuera le dragon. Tristan tente l'aventure et parvient à terrasser le dragon. Il lui coupe la langue pour prouver son exploit. Assoiffé, il va se désaltérer à un point d'eau , non loin de là. Malheureusement la langue du dragon est empoisonnée et dégage des "vapeurs" nocives. Tristan s'évanouit.
Pendant ce temps, un autre chevalier amoureux d'Iseut coupe la tête du dragon et se fait passer pour le héros. Connu pour sa lâcheté, ce chevalier ne parvient à convaincre ni la cour, ni Iseut. Elle décide, en compagnie de sa servante Brangien, de se rendre sur les lieux du combat. Elle y découvre Tristan inanimé. Une nouvelle fois, elle le soigne et le sauve.
La langue du dragon que possède Tristan montre que c'est bien lui le vainqueur du dragon. Le chevalier qui s'attribuait cet exploit était un imposteur.
En nettoyant les affaires de Tristan , Iseut découvre la brèche dans son épée et la compare au fragment extrait du crâne de son oncle. Elle comprend que Tristan est le meurtrier du Morholt. Elle se jette sur lui avec l'épée, mais Tristan parvient à la convaincre, en lui rappelant que son duel avec le Morholt était régulier, de l'épargner. Hésitante, Iseut, qui ne veut surtout pas épouser l'autre prétendant lui laisse la vie sauve.
L'assemblée des barons irlandais se réunit. La langue du dragon que possède Tristan est la preuve de son exploit. Le chevalier imposteur renonce à un duel avec Tristan et abandonne Iseut à son rival. C'est alors que Tristan explique au roi d'Irlande qu'il souhaite la main d'Iseut, non pour lui mais pour son oncle, le roi Marc et que ce mariage scellera la paix entre les deux royaumes ennemis. Iseut, elle, est inquiète d'avoir été conquise pour un autre.
Tourmentée pour l'avenir d'Iseut, sa mère confie à Brangien, la suivante de sa fille, un breuvage magique. Ce philtre d'amour à destination du roi Marc et d'Iseut, a pour but de susciter un amour réciproque et éternel entre les deux époux : ceux qui le boiront s'aimeront de tous leurs sens et de toute leur pensée, à toujours dans la vie et dans la mort.
Sur le bateau qui les ramène en Cornouailles, afin d'apaiser la soif de Tristan et d'Iseut, Brangien, par erreur, leur fait boire le philtre d'amour. Désespérée, Brangien jette le flacon vide à la mer. Bientôt apparaissent les premiers signes de l'effet du philtre. Par loyauté pour son oncle, Tristan tente de combattre ce sentiment qui s'empare de lui. C'est Iseut, la première, qui avoue sa flamme. Voyant Tristan et Iseut prêts à succomber à leur passion, Brangien leur confesse l'origine de leur amour et les met en garde contre son caractère irréversible. En vain. Les deux jeunes gens, dès le troisième jour de la traversée, cèdent à la passion et deviennent amants.
Arrivée en Cornouailles, Iseut est accueillie avec tous les honneurs par le roi Marc. On célèbre le mariage royal . Mais, pour la nuit de noces, Iseut convainc Brangien de sacrifier sa virginité et de prendre sa place dans le lit conjugal. A la cour personne ne soupçonne encore l'amour qu'éprouvent Tristan et Iseut l'un pour l'autre, mais Iseut craignant que Brangien ne les dénonce veut la faire assassiner. Elle paie deux serfs et leur demande d'emmener Brangien dans la forêt pour la tuer. Iseut ordonne alors à Brangien d'aller cueillir des herbes médicinales dans la forêt. Emus par la bonté de la jeune fille, les deux serfs désobéissent et lui laissent la vie sauve. Finalement Brangien et Iseut se réconcilient, et les deux femmes se promettent une amitié éternelle.
Pendant plusieurs mois Tristan et Iseut vivent leur passion sans être inquiétés. Mais bientôt le nain Frocin et les quatre barons jaloux découvrent le sentiment qui unit Tristan et Iseut. Malgré la crainte que leur inspire le neveu du roi marc, ils décident d'alerter leur souverain. Marc se refuse à les croire, mais peu à peu il commence à douter. Il impose alors à Tristan une première épreuve en lui demandant de s'éloigner quelque temps de Tintagel. Mais Brangien organise alors des rendez vous clandestins pour les deux amants. Le roi Marc est à nouveau alerté par les barons félons. Sur les conseils du nain Frocin, il fait croire à son entourage qu'il s'absente quelques jours en forêt pour chasser. En fait il vient se cacher près du grand pin, lieu supposé des rendez-vous galants de Tristan et Iseut
Lorsque Tristan arrive, il aperçoit le visage de son oncle dans le reflet de la fontaine. Iseut, elle aussi, devine le piège qui leur est tendu. Les deux amants abusent le roi en tenant des propos anodins. Rassuré et convaincu de leur innocence, Marc permet à Tristan de revenir à la cour et laisse son neveu et Iseut se voir en toute liberté.
Les quatre barons et le nain Frocin ne désarment pas. Ils souhaitent, plus que jamais, confondre les deux amants. Frocin imagine un autre piège. Il demande à nouveau au roi d'éloigner Tristan du château en lui confiant une mission. Il est persuadé que Tristan souhaitera, avant son départ, s'entretenir une dernière fois avec la reine. Le soir, Frocin répand autour du lit d'Iseut de la farine. Il est sûr de retrouver le lendemain matin les empreintes de Tristan. Tristan qui a suivi la scène rend visite à Iseut, et décide de sauter jusqu'à son lit. Hélas pour lui, une ancienne plaie à la jambe se déchire et il laisse des traces de sang dans le lit d'Iseut et sur la farine qui l'entoure.
Lorsque le roi et les barons rentrent dans la chambre, Tristan n'est plus aux côtés d'Iseut, mais les tâches de sang l'accusent. Tristan et Iseut sont condamnés à mort. Tristan, pendant qu'on le conduit au bûcher, convainc ses gardes de le laisser se recueillir dans une chapelle située au sommet d'une falaise surplombant la mer. Il parvient miraculeusement à s'échapper en sautant par la fenêtre.
Des lépreux persuadent alors le roi de punir Iseut par une peine plus lente et plus cruelle que le bûcher : leur remettre Iseut. Le roi Marc accepte. La reine est emmenée par ce groupe de lépreux. Mais Tristan veille. Il parvient grâce à l'aide de son ami Gouvernal à libérer Iseut. Les deux amant s'enfuient .
Tristan et Iseut vivent dans la forêt de Morrois un exil difficile, mais leur amour leur permet d'affronter cette vie d'errance. Un jour, un homme du roi Marc surprend près d'une hutte de feuillage, Tristan et Iseut endormis. Il s'empresse de prévenir son souverain. Dès qu'il le peut, Marc se rend dans la forêt à l'endroit qui lui a été indiqué. Il aperçoit les amants endormis, l'épée de Tristan entre eux deux, preuve de leur innocence. Il les épargne, mais souhaite tout de même laisser une trace de son passage. Il échange son anneau avec celui d'Iseut et son épée avec celle de Tristan. Lorsqu'ils se réveillent Tristan et Iseut prennent peur et s'enfuient en direction du pays de Galles.
L'attitude chevaleresque du roi Marc a ému les deux amants. Tristan implore l'aide de Dieu pour qu'il lui donne la force de laisser Iseut retrouver le roi Marc. De son côté, Iseut songe avec nostalgie à la vie agréable qu'elle menait à la cour de Cornouailles. Les deux amants décident de consulter l'ermite Ogrin pour qu'il les conseille sur l'attitude à tenir. Ce dernier recommande à Tristan de rendre Iseut à son mari et de s'exiler. L'ermite assure le roi Marc de la pureté d'Iseut. Le roi accepte que sa femme revienne à la cour. Avant de se séparer, les amants s'échangent des preuves de leur amour. Iseut garde Husdent, le chien de Tristan, tandis qu'elle lui offre un anneau de jaspe vert. Iseut est reçue avec les honneurs à la cour et est applaudie par le peuple de Cornouailles.
Les barons félons continuent de douter d'Iseut. Ils jettent de nouveau le trouble et parviennent à convaincre le roi Marc de la soumettre à un serment solennel devant les autorités de Cornouailles. Il lui faut affirmer qu'elle n'a jamais entretenu de relations coupables avec Tristan. Iseut accepte de se soumettre à cette épreuve qui se déroulera devant le roi Marc, sa cour et l'ensemble des barons. Elle demande également au roi Arthur et à sa cour d'assister à cette épreuve, afin qu'ils puissent témoigner, si ensuite, on venait encore à la soupçonner. Iseut envoie alors un message à Tristan pour qu'il assiste, déguisé en lépreux, à cette épreuve.
Le jour du serment, pour se rendre au lieu dit, le "Mal Pas" Iseut doit faire appel à un pèlerin pour qu'il l'aide à traverser un gué. Cet individu n'est autre que Tristan déguisé en lépreux. Elle traverse donc le gué juchée sur les épaules de Tristan. C'est ensuite qu'elle fait le serment : hormis Marc et ce pèlerin, aucun homme ne l'a jamais tenue dans ses bras.
Tristan peut rentrer à la cour et les amants peuvent s'aimer à nouveau. Toujours surveillés par les félons, Tristan se venge de plusieurs d'entre eux en les tuant. Un jour, le roi surprend les amants endormis dans un verger. Cette fois-ci, l'épée de Tristan ne sépare pas leurs corps. Le roi, persuadé de leur culpabilité, chasse Tristan.
Tristan part en exil et erre de royaume en royaume. Il traverse les mers et finit par s'arrêter en Petite Bretagne (la Bretagne actuelle). Il aide le roi Hoël et son fils Kaherdin à se défaire de leurs ennemis. Kaherdin et Tristan se lient d'amitié. Ce dernier lui présente sa sœur, Iseut aux Blanches mains. Attiré par la jeune fille en raison de sa beauté et surtout du nom qu'elle porte, Tristan compose de beaux poèmes d'amour. Pour le remercier de son aide, le roi Hoël offre à Tristan la main de sa fille. Celui-ci accepte de l'épouser. Le soir des noces, pris de remords, il se refuse à consommer le mariage, car il ne peut se résoudre à tromper son premier et unique amour. Iseut aux Blanches mains s'étonne de l'indifférence de Tristan. Ce dernier justifie son attitude en prétextant que suite à une bataille gagnée grâce à l'aide de la Vierge Marie, il a fait le vœu d'un an de chasteté. Un jour, Kaherdin découvre, vexé, que le mariage de Tristan et de sa sœur n'a jamais été consommé. Il est tellement furieux qu'il envisage de tuer Tristan pour venger l'honneur de sa sœur. Mais Tristan fait à Kaherdin le récit de sa vie. Il lui avoue qu'il aime une autre Iseut, bien plus belle qu'Iseut aux Blanches. Emu et compatissant, Kaherdin pardonne à son ami.
Kaherdin et Tristan se rendent clandestinement en Cornouailles. Plusieurs malentendus empêchent Tristan et Iseut de se retrouver. Puis Tristan retourne une nouvelle fois en Cornouailles. Cette fois il parvient à se déguiser et à pénétrer dans le château de Marc. Grâce à son chien Husdent et à l'anneau de jaspe vert, Iseut le reconnaît. Tristan et Iseut réussissent à se voir clandestinement pendant plusieurs jours. Mais des soupçons pèsent sur lui. Tristan doit à nouveau s'enfuir. Il fait ses adieux à Iseut et lui promet de revenir bientôt
De retour en Bretagne, Tristan aide Kaherdin à combattre un nouvel ennemi. Il est grièvement blessé au cours d'un combat par une lance empoisonnée. Seule Iseut La Blonde et ses dons de guérisseuse peuvent lui sauver la vie. Il demande à Kaherdin d'aller chercher Iseut en Cornouailles. Son beau-frère accepte. Tous deux conviennent d'un code : s'il parvient à ramener Iseut, la voile sera blanche, si l'entreprise échoue, alors elle sera noire. Mais Iseut aux Blanches Mains a entendu cette conversation et elle connaît maintenant la véritable cause de la chasteté de Tristan. Kaherdin parvient à convaincre Iseut la Blonde de se rendre en Bretagne sauver la vie de Tristan. Pendant la traversée, le bateau essuie un dangereux orage, puis c'est le calme plat. Iseut aux Blanches Mains aperçoit le navire qui s'approche de la côte. Dévorée par la jalousie, elle annonce à Tristan que la voile est noire. A ces mots Tristan meurt de chagrin. Sitôt débarquée, Iseut la Blonde apprend la mort de son amant. Elle se rend auprès de lui, s'allonge à ses côtes et le rejoint dans la mort.
Quelques temps après, le roi Marc ramène les deux corps en Cornouailles. il les fait enterrer dans la même chapelle. " Mais pendant la nuit, de la tombe de Tristan jaillit une ronce verte et feuillue, aux forts rameaux, aux fleurs odorantes, qui, s'élevant par dessus la chapelle, s'enfonça dans la tombe d'Iseut. Les gens du pays coupèrent la ronce : au lendemain elle renaît, aussi verte, aussi fleurie, aussi vivace, et plonge encore au lit d'Iseut la Blonde. Par trois fois, ils voulurent la détruire; vainement. Enfin, ils rapportèrent la merveille au roi Marc: le roi défendit de couper la ronce désormais."
UNIVERSITÉS ET SCIENCES AU MOYEN-ÂGE

• Les écoles religieuses
• Origine des universités
Toutes les écoles que l’Empire Romain avait fondé en Gaule avaient disparu devant les invasions (entre 5e et 8e siècles). Les ordres religieux ont ouvert des écoles qui étaient souvent cachées au sein des forêts. À peu près chaque monastère et chaque église avait son école de calligraphie, de grammaire, de calcul et de chant. Les abbés y admettaient gratuitement de toute condition. Dans les villes l’école épiscopale (les écoles liées à l’épiscopat) devient bientôt la plus importante des écoles et dans les grandes villes à côté de l’école épiscopale il s’est formé d’autres écoles qui se sont réunies peu à peu dans le même quartier. À la fin du 12e siècle, se sont formés les associations dit universitates entre les professeurs et les étudiants d’une même ville (les premières universités étaient fondées en Italie pour la médecine et pour le droit romain).
La France a eu la première université à Paris pour la théologie puis à Orléant pour le droit et à Montpellier pour la médecine. À ces universités les papes et les princes ont accordé bien des priviléges et presque l’indépendance. Les universités avaient leurs propres lois, leurs polices, leurs tribunaux, leurs prisons et leur langue qui était le latin. Elles formaient une sorte d’état dans l’état, une république savante. Ayant une origine écclésiastique, elle reste toujours une institution presque religieuse. La théologie est la matière principale, les professeurs sont pour la plupart prêtres et moines; le latin est leur langue officielle non pas seulement en classe mais partout, leurs livres sont en latin et souvent en vers. Il y avait peu de livres, seul les élèves riches pouvaient se procurer un texte, les pauvres étaient obligés de copier eux-même ce texte et quand il s’agissait d’un auteur classique les élèves se contentaient d’écouter le maitre qui lisait et commentait le livre unique. Les écoliers pauvres étaient nombreux et l’église avait fondé pour eux des pensions gratuites. La plus célèbre était l’abbée de Sorbonne.


Enseignement universitaire►
• Trivium: grammaire, rhétorique et dialectique pour les classes inférieures
• Quadrivium: arithmétique, géométrie, astronomie et musique pour les classes moyennes.
• La Baccalauréat: cloturaient les études de culture générale et admettaient aux études spéciales.
• Quatre facultés: théologie, droit, médecine, sciences et lettres.
Le dernier examen transformait l’étudiant en docteur et l’étudiant fêtait sa license offrant un banquet à ses maitres.
LES ARTS AU MOYEN-ÂGE


L’art était religieux. On faisait des églises, des cathédrales, des sculptures et les status des saints. On faisait des vitraux à l’intérieur des églises. L’art du moyen-âge était chrétien. L’art pénètre à la vie civile. On faisait des châteaux et des palais pour les nobles et leurs portraits aussi.
Au moyen-âge l’architecture a créé deux styles:
• Style gothique (style monocal, lié aux moines)
• Style roman


Style roman►
Dans le style roman les murs des églises sont bas et très épais, ils sont percés de petites fenêtres assez rares en sorte que l’église romane reste solide mais basse et sombre.
Le chef–d’oeuvre c’est “l’église de Clury”.


Style gothique►
C’est l’art français, on dit l’art ogival (ogive: sivri kemer); l’art chrétien. C’est la grande création du moyen-âge.
On remarque sur la façade à l’extérieur de l’église gothique 3 portes et sur la toiture 2 tours percés au jour par les grandes fenêtres. À l’intérieur on voit encore des arcs aigus, les murs percés de grandes fenêtres lumineuses. Dans l’ensemble on admire la légéreté de l’édifice. L’église semble une aspiration vers la clarté.
1. Le gothique prmitif: Il gardait encore un peu de la gravité romane. Il y avait peu d’ornements et l’arc était à pein aigu.
2. Le gothique rayonnant: Il rend l’arc plus aigu, les ornements sont plus riches et c’est la grande époque des cathédrales. Par exemple Notre Dame de Paris, qui est de style gothique est l’une des plus belles oeuvres du gothique rayonnant
3. Le gothique flamboyant: Il rend l’arc plus aigu, les ornements sont trop riches et compliqués.


La sculpture:
La sculpture a fait progrès pendant les siècles 12 et 13. Les sujets étaient sur les histoires des saints, les légendes, les scènes terribles de la fin du monde, les images repoussantes de démon, de toutes sortes de bêtes imaginaires ou réelles. Le style était aussi gothique. Le sculpteur le plus connu de l’époque était Claus Sinter. Ses oeuvres: “Puits de Moïse” et “Tombeaux des Ducs de Bourgogne” à Dijon.

La peinture:
On voyait la peinture dans les églises gothiques et romanesques. Le font était bleu et il y avait l’étoile d’or. Le gothique tend à l’étude directe de la nature. Elle peint toute scène de la vie humaine; non plus sur un font d’or mais dans le vrai paysage où la scène se déroule. Peu à peu la peinture sort de l’église et la peinture profane entre dans les châteaux. On voit les portraits de Charles V. Le peintre le plus connu de l’époque c’est Simone Martini.
LE MOYEN-AGE
Le moyen-âge est une longue période de l’histoire de France qui dure presque 10 siècles, du 5ème au 15ème siècle.

Ce n’est qu’au début du 11ème siècle que la littérature française commence à exister réellement à côté des oeuvres latines. Mais on ne peut cependant pas parler de la littérature médiévale mais qui serait unique et aurait les mêmes caractéristiques entre l’an mille et la fin du moyen-âge. 500 ans plus tard les mentalités, les productions littéraires vont beaucoup évoluer. Pour comprendre cette période il faut citer qqs. évennements de son histoire et brosser le tableau de la société dans laquelle naissent les premières oeuvres de la littérature française.


XIème et XVème siècles►
Les principaux faits historiques pendant ces cinq siècles d’histoire, deux évenements ont un retentissement particulier sur la mentalité et la littérature de cette époque► Les Croisades et La Guerre de Cent Ans.
Les Croisades: ce sont des expeditions millitaires organisées pour délivrer La Terre Sainte des Infidèles. L’église appelle les chevaliers de royaume catholique à aller libérer le tombeau de Christ. Ils sont accompagnés par des milliers de Pélerins et réunissent à installer en orient le royaume de Jérusalem. Mais sitôt établi, ce royaume est menacé par les troupes de l’islam et Les Croisades vont se succéder pour venir à son secours. (1095-1099) Première Croisade; (1147-1149) 2ème Croisade; Jusqu’à la 8ème Croisade qui s’achève en 1292 par la perte définitive de Jérusalem. Pendant plusieurs générations, partir en Croisade représente à la fois un voeu religieux, une extraordinaire aventure. La fougue des chevaliers trouvent là une merveilleuse occasion de s’exalter.
La Guerre de Cent Ans: elle débute 46 ans apres la dernière Croisade en 1337. Les origines de ce conflit entre La France et L’Angleterre sont anciennes et complexes parce qu’en 1152 Henri Plantageret roi d’Angleterre avait épousé Aliénor d’Aquitaine. La Normandie, Le Maine, L’Anjou, L’Aunis et La Guyenne appartenaient à la couronne d’Angleterre qui possédait aussi plus de territoires en France que le roi du France lui-même. La situation était donc déja délicate quand s’y ajoutèrent des conflits de successions.
En 1328 le roi de France, Charles IV mourru sans laisser de fils et Edouard III d’Angleterre reclamma pour lui la couronne en tant que petit fils par sa mère. Philippe VI confisqua qqs. années plus tard la guillaine posséssion anglaise en Aquitaine. C’est ainsi que se déclencha le conflit. La 1ère période de la guerre est marquée par les affrontements dans l’ouest du pays. Les deux camps veulent assurer leurs positions en Bretagne. Les anglais parce que toutes leurs routes commerciales y passent; les français pour y maintenir la suzerainté du roi de France. Pendant près d’un siècle la guerre fut continuer. En 1422 lorsque le nouveau roi de France Charles VII accède au trône, il règne sur un royaume quasi inéxistant. Les anglais dominent La Normandie, La Bretagne, Les Pays de Loire, le puissant ché de Bourgogne hostile à la couronne de France, s’étand du nord de la France à la Bourgogne. Ainsi le jeune roi Charles VII doute-t-il de son pouvoir lorsqu’une jeune fille Jeanne d’Arc vient réveiller l’éspoir des armées françaises. A la tête des soldats elle délivre la ville d’Orléans tenue par les anglais puis elle permet au roi de gagner Reins et de s’y faire sacré en 1429. Certes Jeanne d’Arc fut capturée et brulée en 1431, mais l’élan qu’elle avait suscité allait aboutir: En 1435 La Bourgogne signait une allience avec Charles VII dont la puissance s’affirmait de plus en plus. En 1445-1450 il libéra peu à peu l’ensemble du royaume de la présence anglaise. Tant de guerres et de pillages avaient toutefois laissé La France dans un étape lamentable. Le nouveau roi Louis XI aura pour tâche de restaurer la puissance du royaume.


La Statue Sociale: A qui ressemble la société du moyen-âge?
Elle est divisée en trois classes. Les “Oratores”(ceux qui prient); Les “Bellatores”(ceux qui se battent); Les “Laborantes”(ceux qui travaillent). L’organisation da la société féodale principalement rurale jusqu’au 13ème siècle repose sur les liens personnels qui unissent un suzerain à son vassal. Le vassal doit obéissance et service à son suzerain qui le protège militairement et juridiquement; lui assure des moyens d’existences, le suzerain est lui-même vassal d’un plus puissant seigneur jusqu’au roi de France qui est au sommet de cette pyramide hyérarchique. Mais dès le 13ème siècle l’essort des villes transforment peu à peu cette organisation. Avec le début de la spécialisation des métiers, des confreries urbains sociaux-professinnels se forment. Les bourgeois obtiennent pour leur ville des privileges économiques et juridiques qui concurrencent les pouvoirs seigneuriaux. Au 15ème siècle toute une part de la littérature sera ainsi devenue celle de la ville.
Le Contexte Culturel: La culture est à cette époque essentiellement religieuse. Les enseignants, les étudiants, les hommes de loi qui dépendent tous de l’autorité religieuse écrivent et parlent en latin. Mais la volonté de créer une culture profane va favoriser l’établissement et le progres du français. Rédiger en français les lois de la société féodale prend peu à peu leur autonomie par rapport aux institutions religieuses, cependant la même foi ardent anime toutes les couches de la société exprimme aussi bien dans les croisades que dans la construction des cathédrales gothiques.(1163 Notre Dame de Paris) Quant à la vie intellectuelle, elle est assurée par les clercs puis par les universités qui se créaient au 13ème siècle, celle de Paris voit le jour en 1200 et reçoit en 1252 de son premier directeur Robert Sorbonne le nom de Sorbonne qu’elle porte encore aujourd’hui.
Les genres littéraires jusqu’au 13ème siècle: L’écrivain du moyen-âge est intimmement lié à la société dans laquelle il vit. C’est elle qui le fait vivre matériellement et il ne peut pas exister sans elle ou contre elle. L’écrivain partage donc les croyances, les valeurs, les goûts de la communauté pour laquelle il compose. Ses oeuvres reflètent les idéaux de cette communauté. Dans “Les chansons de Gestes” qui glorifie la chevalerie, dans “La Littérature Courtoise” qui codifie les relations de la société seigneuriale, dans “La Littérature Satirique” qui en dénonce les abus.
Les chansons de Gestes: Dès le 11ème siècle, les poèmes, les chansons de gestes racontent les aventures d’un chevalier pendant des évenements historiques remontant aux siècles antérieurs. Gesta en latin signifie “acte accomplie”. Mais c’est bien l’idéal de la société féodale contemporaine qui est mise en scène: respect absolu des engagements féodaux entre suzerain et vassal; moral chevaleresque; qualité guerrière au service de la foi; le chevalier obeit à un code donneur très exigeant; méprisant la fatigue, la peur, le danger il est irrémédiablement fidèle à son seigneur. Le chevalier vit pour la guerre, il est fière de ses exploits guerriers. De plus, parce que l’église essaye de détourner vers la croisade, l’énergie violente de ses hommes pasionnés de combat, les chansons de geste évoquent des guerres saintes contre les Infidèles. Toute une communauté se reconnait donc dans ces oeuvres qui exaltent les valeurs chevaleresques.


Qui sont les auteurs au moyen-âge?
Une oeuvre au moyen-âge dans l’état où nous la lisons aujourd’hui n’est pas le fruit du travail d’un auteur unique. Des remaniements successives dus autant aux jongleurs qu’aux copistes ou aux clercs à partir d’un texte original nous livre des oeuvres annonimes même lorsqu’on peut identifier précisement tel maillon de la chaine qui a produit le texte final.
Le jongleur: Dans toutes les occasions de fêtes (marige, banquet, cérémonie d’adoubement...) le jongleur est un élément essentiel car non seulement c’est un homme de spéctacle, mais cette aussi lui qui récite les poèmes qu’il a appris par coeur. L’oeuvre littéraire est diffusé par lui. Mais il ne se contente pas de réciter, il compose lui-même des vers qu’il ajoute à l’oeuvre récitée. Il participe aussi à l’évolution d’un texte primitif. La mémoire joue un rôle important dans ce système de transmission orale des oeuvres littéraires et des versions divergentes font évoluer sans cesse le texte primitif.
Le copiste: Lui aussi fait évoluer le texte primitif, mais dans un autre souci. Il ne récite pas l’oeuvre, il est chargé de recopier le manuscrit. Dans ce travail, le copiste intervient avec sa personnalité, il lui arrive de rajouter ou de retrancher une partie d’un texte, d’en moderniser la langue. De plus, il travaille parfois de mémoire, parfois sous la dictée d’un jongleur. La transmission orale de l’oeuvre créait des divergences d’une version à l’autre et si sa mémoire a oublié d’un épisode, il l’inventera. Enfin, à partir du 3ème siècle le goût du public s’oriente vers des cycles. Le copiste va rassembler dans un même manuscrit des épisodes éparts d’une histoire et les organiser en une suite plus ou moins cohérente. Tous ces remaniments s’expliquent par le désir d’adapter au goût du public.
Le clerc: Quelquesoit la part d’invention personnel du jongleur ou du copiste, il faut rendre au clerc ce qui lui appartient probablement. Le clerc est un homme cultivé, il est passé par l’université, appartient à l’église, c’est-à-dire qu’il dépend de la justice éclésiastique et dispensé d’impôt. Il occupe des charges qui rapportent des bénéfices. Il porte la robe longue et la tonsure et il peut se marier s’il n’accepte pas à la prétrise. Les clercs ont souvent un sort difficile et leur pauvreté les mène à mettre leur culture au service d’un seigneur. La fonction du clerc est comparable alors à celle du jongleur. S’il remanie des oeuvres déjà existentes, c’est avec sa culture classique ce qui donne aux textes, une autre marque que celle du jongleur. Mais souvent il créait lui-même sur un canebas connu. Si le jongleur produit le texte devant le public avec des varientes personnelles, si le copiste recopie et remanie le texte qui est donc à l’origine de l’oeuvre alors qui est le créateur. Les critiques littéraires se demandent toujours si à cette époque une oeuvre est la rédaction un jour donné d’une légende, d’un élément folclorique populaire qui existe depuis longtemps ou s’il s’agit d’une création individuelle et originale, non plus populaire ou savante.


Quand parlera-t-on d’auteur?
Il faut avoir en tête deux notions pour comprendre quel sens peut avoir le mot “auteur” au moyen-âge. Tout d’abord l’idée d’une “propriété littéraire” n’existe pas. Un texte n’appartient pas à un auteur. Il est normal de s’en servir. On peut le plagier, le remanier, lui donner une suite etc... D’autre part les auteurs du moyen-âge ont une conception de l’originalité, différente de la nôtre. Ils connaissent parfaitement les versions extérieurs de l’oeuvre qu’il compose non pas pour s’en démarquer mais pour intégrer au mieux la tradition pour en ressembler les éléments éparts. Ainsi dans une composition théâtrale par exemple un auteur n’hésitera pas à insérrer plusieurs passages d’une oeuvre antérieure. Ce sera le cas au 15ème siècle lorsque pourtant le statu d’auteur se précise “Le Mystère De La Passion” d’Arnoul Gréban composé vers 1450 intègre des vers d’un mystère d’Eustache Mercadé écrit en 1450 et sert à Jean-Michel pour son propre “Mystère de la Passion” en 1486. Il faut donc même lorsque l’histoire nous a conservé le nom d’un auteur, il faut faire la part de la tradition dans l’invention originale.
LA GAULE

La France est entrée en histoire avec des Celtes (des vrais guerriers).
Une communauté indo-européenne émigrait en Europe 2000 avant J.C
Les Celtiques se divisaient en deux► Les Gaulois et les Belges
Ils étaient une société en chan ou en tribue. Il y avait 4 couches sociales:
• Druides (les prêtres): ils vivaient dans la solitude à la forêt, ils n’écrivaient rien.
• Les Nobles: une société aristocratique, les bordes (les poètes de l’époque)
• Le peuple: presque réduit à la servitude
• Les esclaves
Il y avait deux systèmes► l’oligarchie et la monarchie
Ils étaient polythéistes. Le peuple croyait en un Grand Dieu National appelé “Teutatès”.
Ils adoraient le soleil appelé Bel-Bellisama et la lune.
Ils adoraient la nature. Ils croyaient à l’immortalité de l’âme, célébraient la sacrifice des animaux.
Ils brûlaient vivant le criminel, le coupable.
Ils étaient excellents en technique et artistique, ils étaient agriculteurs.


La romanisation de la Gaule
L’empire romain règna 4 siècles sur le terrain Gaulois. Les Gaulois s’accomoderont bien à la situation, ils ont appris leur langue, leurs moeurs, leur poids, leur monnaie.
La seule force qui s’opposait c’était la druide car ils adoraient les Dieux Romains.
Gallo-romains & Belgo-romains►gaulois belges romanisés
L’unité et la paix, droit politique des romains, l’armée et l’administration, communication perpétuelle adoptaient la langue latine (l’industrie et commerce, manifacture…)
Ils faisaient des cabanes en foin avec une seule fenêtre, les palais, les théâtres basiliques, ruines de palais de construction fort imposante (ces bâtiments sont encore à Lyon, Paris et Azles)

Les langues
Les celtes► leur propre langue était celtique. Avant le latin, jusqu’après le 1er siècle de la conquête au fond des forêts druidiques on parlait le celtique.
Patois, dialecte, un parler local employé par une population peu nombreuse dont la culture et le niveau de civilisation sont inférieures à ceux du millieu environnant. Le latin littéraire dans les millieux cultivés (latin classique). L’immense majorité utilisaient le latin vulgaire (latin populaire).
Les soldats et les marchands► la langue de l’état c’était le latin, c’est le christianisme qui a renforcé le latin.
Les gaulois ont conservé leur pensée religieuse, leur tradition artistique, leur conception classique d’architecture et de sculpture. Plâge bronze. Cet art était illustré par le mobilier des tombes, par les reflets des objets utilisés quotidiennement, longue épée de fer mors, garniture de char en bronze, des boucles pour attacher les cheveux, des bracelets et des vases de céramiques. Cet art est caractérisé à l’abstraction et schématisation, aux motifs géométriques. Les monnaies gauloises apparaissent 3 siècles avant J.C et disparaissaient 1 siècle avant J.C. Sur la monnaie il y a une tête de profil d’un oeil très grand fantastique, les chevaux ont des représentations fantastiques 3 siècles avant J.C. En Gaule, se développe une sculpture caractérisée par un hiératisme (un art qui semble être réglé et imposé par une tradition qui est sollenel et cérémonieux) et une expressionnisme (forme d’art faisant consister la valeur de la représentation dans l’intensité de l’expression) une impressionnisme (forme d’art qui s’efforce d’exprimer les impressions que les objets et la lumière succèdent) proprement gaulois. On voit ainsi les statuaires des idoles, les torses des guerriers et des cavaliers aux galop, influence orientale.


L’art
Conception esthétique latin surtout en architecture orthogonel. Angle perpendiculaire avec des forums (place où se tenait l’assamblée publique) aqueducs des fontaines, arc de triomphe funéraire pour la Gaule toute entière.
Caractéristiques►
L’édifice romaine est remarquable par sa force, sa plénitude, l’importance des masses, l’épaisseur des murs par sa parfaite adaptation au pays, au climat, au sol qui le porte et dans lequel il est profondement enraciné. L’architecture chez les romains n’est pas pur création de l’esprit. Elle est liée à des lois inéluctables: équilibre des poussées, stabilitées des masses, la nécessité d’étudier les monuments existants et de s’en inspirer pour améliorer; modifier les solutions passées et adopter des formules nouvelles.
Verrerie et céramique étaient importants en Gallo-Romain.
Vers la fin de la civilisation Gallo-Romain l’art Bisancène néo-classique nait. Les lettres de la littérature s’enrichissent avec l’arrivée de Gallo-Romain.
La poésie familière, intimité, charité, tendresse feront partie de la langue française. La Gaule s’est donnée entièrement à la latine. La conquête colonnière; l’occupation dure 5 siècles et fini en 476.
Dès le 3ème siècle ces progrès sont persécutés d’athéisme impiété► le mépris pour la religion parce qu’ils n’adoraient pas les Dieux.
Constantine a proclamé l’Edit de Milan (313); il a donné sa liberté au christianisme, il est devnu chrétien, il est répendu vite ent toute l’Europe.
Saint-Martin, simple soldat, devient missionnaire évêque de Tours. Il est fondateur du premier monastère de Gaule. Il est en Azle. Polythéisme a disparu très vite dans les villes.
Le christianisme est apparu en Gaule au cours du deuxième siècle; d’abord à Lyon où les premiers récits de Martyr apparaissent. Mais les églises gauloises restent longtemps limités aux villes et ce n’est qu’au 4ème siècle que l’évangélisation des campagnes a commencé. Grâce surtout à l’action de Saint-Martin qui est devenu plus tard évêque de Tours.

AUTEURS et LEURS OEUVRES

  • Louis Aragon (20ème siècle)
  • Samuel Beckett - "En Attendant Godot" (20ème siècle - Théâtre)
  • Eugène Ionesco - "La Cantatrice Chauve", "Rhinocéros" (20ème siècle - Théâtre)
  • Aimé Césaire - "Cahier du Retour au Pays Natal" (20ème siècle)
  • Jacques Prévert - "Paroles" (20ème siècle)
  • Marguerite Yourcenar - "Alexis ou Le traité du Vain Combat" (20ème siècle)
  • André Breton - "Nadja" (20ème siècle)
  • Jean Cocteau - "Les Enfants Terribles" (20ème siècle)
  • Jean-Paul Sartre - "Huis Clos", "Les Mouches", "La Nausée", "Le Mur" (20ème siècle)
  • Albert Camus - "L'Etranger", "La Peste" (20ème siècle)
  • Colette - "Les Séries de "Claudine" (20ème siècle)
  • Guillaume Apollinaire - "Calligrammes" (20ème siècle - Poésie)
  • André Gide - "Les Nourritures Terrestres", "La Symphonie Pastorale", "Les Caves du Vatican", "Les Faux Monnayeurs" (20ème siècle)
  • Paul Verlaine - "Romances Sans Paroles" (19ème siècle - Symbolisme)
  • Arthur Rimbaud - "Le Dormeur du Val" (19ème siècle - Symbolisme)
  • Mallarmé - "Poésies" (19ème siècle - Symbolisme)
  • Charles Baudelaire - "Les Fleurs du Mal", "L'Etranger" (19ème siècle - Symbolisme)
  • Emile Zola - "Germinal", "L'Assommoir", "Thérèse Raquin", La Bête humaine" (19ème siècle, Naturalisme)
  • Guy de Maupassant - "Papa de Simon", "L'Auberge", "Aux Champs", "La Ficelle", "Pierrot", "Toine", "La Bête du Maitre Belhomme", "La Parrure", "La Dot", "La Rempailleuse" (19ème siècle - Réalisme)
  • Alexandre Dumas - "Les Trois Mousquetaires", "Le Comte de Monte Cristo", "La Reine Margot" (19ème siècle)
  • George Sand - "La Petite Fadette", "La Mare au Diable" (19ème siècle)
  • Gustave Flaubert - "Madame Bovary", "Salammbô", "L'Education Sentimentale" (19ème siècle - Réalisme)
  • Honoré de Balzac - "Le Père Goriot", "Eugénie Grandet", La Peau de Chagrin", "Le Colonel Chabert", "Le Lys dans La Vallée", "Illusions Perdues", "Le médecin de Campagne", "Les Chouans" (19ème siècle - Romantisme et Réalisme)
  • Stendhal - "Le Rouge et Le Noir", "La Chartreuse de Parme", "Vie de Rossini" (19ème siècle - Romantisme et Réalisme)
  • Victor Hugo - "Notre Dame de Paris", "Les Misérables", "Le Dernier Jour d'Un Condamné", "Les Orientales", "Hernani", "Cromwell", "William Shakespeare" (19ème siècle - Romantisme)
  • Gérard de Nerval - "Odelettes" (19ème siècle - Romantisme, poésie)
  • Alfred de Vigny - "La mort du Loup" (19ème siècle - Romantisme, poésie)
  • Alfred de Musset - "Les Caprices de Marianne" (19ème siècle - Romantisme, théâtre)
  • Alphonse de Lamartine - "Méditations Poétiques" (19ème siècle - Romantisme, poésie)
  • Bernardin de Saint-Pierre - "Paul et Virginie" (19ème siècle - Préromantisme)
  • Madame de Staël - "Colline et Delphine", "De l’Allemagne" (19ème siècle - Préromantisme)
  • Senancour - "Oberman" (19ème siècle - Préromantisme)
  • Benjamin Constant - "Adolphe" (19ème siècle - Préromantisme)
  • François René de Chateaubriand - "Mémoires d'Outre-Tombe", "René" (19ème siècle - Préromantisme)
  • Le Sage - "Gil Blas de Sentillane" (18ème siècle)
  • Marquis de Sade - "Justine ou Les Malheurs de la vertu", "Les 120 jours de Sodome" (18ème siècle)
  • Choderlos de Laclos - "Les Liaisons Dangereuses" (18ème siècle - Roman Epistolaire)
  • Jean-Jacques Rouseau - "Emile ou de L'Education", "Les Confessions", "Julie ou La Nouvelle Héloïse" (18ème siècle)
  • Voltaire - "Candide", "Zadig", "Micromégas" (18ème siècle)
  • Diderot - "Le Neveu de Rameau" (18ème siècle)
  • Beaumarchais - "Le Barbier de Séville", "Le Mariage de Figaro" (18ème siècle - Théâtre)
  • Marivaux - "Le Jeu de L'Amour et du Hasard" (18ème siècle - Théâtre)
  • Montesquieu - "L'Esprit des Lois", "Les Lettres Persanes" (18ème siècle)
  • Jean Racine - "Andromaque", "Bérénice", "Britannicus", "Phèdre", "Iphigénie" (17ème siècle - Tragédie)
  • Pierre de Corneille - "Le Cid" (17ème siècle - Tragédie)
  • Molière - "L'Avare", "Le Bourgeois Gentilhomme", "Les Précieuses Ridicules", "Dom Juan", "Le Malade Imaginaire", "Tartuffe", "L'Ecole des Femmes", "Amphitryon", "Les Fourberies de Scapin", "Les Femmes Savantes" (17ème siècle - Comédie)
  • Madame de la Fayette - "La Princesse de Clèves" (17ème siècle)
  • Jean de La Fontaine - "Les Fables" (17ème siècle)
  • Joachim du Bellay - "Regrets" (16ème siècle)
  • Pierre de Ronsard - "Sonnets pour Hélène", "Sonnets pour Marie", "Sonnets pour Cassandre" (16ème siècle)
  • Michel de Montaigne - "Les Essais" (16ème siècle)
  • Thomas More - "L'Utopie" (16ème siècle)
  • Erasmes de Rottherdam - "L'Eloge de la Folie", "Les Antibarbares" (16ème siècle)
  • François Rabelais - "Gargantua" , "Pantagruel" (16ème siècle)