Hakkımda

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Şişli / İstanbul, (0533 2490843) vildan_ornadis@hotmail.com, Türkiye
Chers abonnés et visiteurs du blog;Tout au long de ma vie scolaire,j’ai reçu un enseignement français.Après avoir terminé le collège français “Sainte-Pulchèrie” j’ai continué à ma vie lycéenne au “Lycée Français Saint-Michel”.J’ai reçu mon diplôme de fin d’études secondaires 3 ans plus tard. À la suite du lycée,j’ai étudié la philologie et la littérature française à “L’Université d’Istanbul, dans “La Faculté des Lettres”;simultanément j’ai étudié la formation pédagogique à L’Université d’Istanbul,dans“La Faculté d’Éducation”(“Formation à L’Enseignement”).Après 4 ans d’études de double licence je suis diplômée en tant que philologue,aussi professeur de français.Toutes les formations que j’ai acquises m’ont perfectionnée dans les domaines tels que la langue, la littérature et la culture française ainsi que la formation pédagogique. Depuis 11 ans, je partage mes connaissances avec ceux qui veulent apprendre la langue,la culture et la civilisation française. J’enseigne les gens de tout âge et de tout niveau depuis les élèves des écoles françaises,jusqu’aux étudiants de diverses universités sans oublier les hommes ou femmes d’affaires ni les amateurs de la francophonie

Présentation

Sevgili Blog Takipçileri;
Tüm eğitim hayatımı fransızca gördüm. İstanbul'da bulunan‘’Özel Sainte-Pulchérie Fransız Kız Ortaokulu’’nu bitirdikten sonra liseyi İstanbul'da bulunan ''Özel Saint-Michel Fransız Lisesi’’nde okudum. Ardından ‘’İstanbul Üniversitesi Edebiyat Fakültesi Batı Dilleri ve Edebiyatları Bölümü‘’ içinde yer alan ‘’Fransız Dili ve Edebiyatı Anabilim Dalı’’nda dört yıllık lisans eğitimimi tamamladım.Bu süre içerisinde ‘’İstanbul Üniversitesi Eğitim Fakültesinde Pedagojik Formasyon’’ alanında eğitim görüp çift anadal diploması aldım. Böylece hem filolog (Dilbilimci) hem de öğretmen olarak mezun oldum. Aldığım bütün bu eğitimler bana hem Fransız Dili, hem Fransız Edebiyatı hem de Pedagoji alanlarında büyük bir yetkinlik sağladı. Onbir yıldır teorik olarak edindiğim tüm bilgileri, pratikte bu dili ve kültürü öğrenmek isteyen her yaştan her gruptan kişilere aktarıyorum. İstanbulda bulunan fransız kolejlerinde eğitim gören öğrenciler başta olmak üzere üniversite öğrencileri, iş adamları, fransız kültürüne meraklı olup kendini geliştirmek isteyen her yaştan her meslek grubundan kişiler meslek hayatım süresince öğrencim olmuştur ve olmaya devam edecektir.

EĞİTMENLİK YAPTIĞIM ALANLAR ►

MES DOMAINES D'ENSEIGNEMENT-EĞİTMENLİK YAPTIĞIM ALANLAR

Grammaire – Littérature – Biologie ( Pour les élèves des écoles françaises - Fransız kolejlerinde eğitim gören öğrenciler için )

Préparation au concours organisé par L'Université de Galatasaray - Galatasaray Üniversitesi iç sınavına hazırlık

Préparation au concours de langue étrangère - YDS (Üniversite Yabancı Dil sınavı) ye hazırlık

Toutes sortes de conseils d'orientation scolaire en France (licence, master) - Fransa’da yüksek öğrenim (lisans , yüksek lisans) görmek isteyen öğrencilere, üniversite seçimlerinden motivasyon mektubu yazımına kadar her türlü alanda eğitim danışmanlığı

Etudes spéciales (privées ou en groupe) pour les adultes -Yetişkinler için kişiye özel birebir ve grup çalışmaları

Cours de la langue Turque (grammaire - conversation) pour les étrangers - Yabancılara türkçe (dil bilgisi ve konuşma) dersleri

BLOGU BİRLİKTE GELİŞTİRELİM (Développons ensemble le contenu du blog)

Le contenu du blog est bilingue. Le blog sera développé grâce à la contribution des abonnés. On présentera les oeuvres des écrivains français, on partagera des résumés ainsi que des analyses et des commentaires sur le blog. Pour mieux concevoir la littérature contemporaine, on va traiter les nouveaux auteurs et courants, on va discuter sur les extraits de leurs oeuvres pour autant la littérature classique et antique. On va honorer les célèbres auteurs classiques en parlant de leurs oeuvres et des courants qu'ils ont initiés à la très chère littérature française. Parfois, on parlera d'une époque soit artistique, soit historique; ou bien on va donner des informations générales ou spécifiques sur la France, la culture française etc...
Pour tout cela il est nécessaire que nos abonnés soient en contact et en collaboration avec nous.

İçerik hem türkçe hem fransızcadır. Siz takipçilerin katkılarıyla gelişecektir blog yazıları. Fransız yazarların eserlerinin tanıtımı kimilerinin özetleri, farklı dönemlerden yazarlar ve eserleri hakkında analiz ve yorumlarla çeşitlendireceğiz blogumuzu. Klasik edebiyata olduğu kadar çağdaş metinlere de önem vereceğiz yeni yazarları işleyeceğiz eserlerinden alıntılar yapacağız. Kimi zaman bir dönemi ele alacağız, bazen de Fransa ile ilgili genel bilgiler, tanıtımlar yapacağız. Katkılarınızı bekliyoruz...

Merci Bien - Teşekkürler

FRANSIZCA ÖĞRENMEK İSTER MİSİNİZ ?

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Böylece,bir gün üyesi olmayı hedeflediğimiz Avrupa Birliğine katıldığımız zaman farklı kültürlere uyum sağlamakta zorluk çekmeyeceğiz.

15 Ekim 2010 Cuma

Je voudrais signaler aux suiveuses et suiveurs du blog « Parlon Français / Fransizca Konusalim » le livre de JEAN-FRANÇOIS SOLNON publié aux éditions Perrin en 2009; "LE TURBAN ET LA STAMBOULINE". Pour ceux qui s'intéressent à l'histoire de la Turquie et aux relations entre l'Europe et l'empire ottoman ce livre fournira de précieuses informations parfois même inconnues du grand public. Bousculant bon nombre de préjugés, l'auteur démontre avec un langage tout à fait accesible que les deux protagonistes tout en se déchirant ne se sont pas ignorés. Ils ont noué des relations commerciales, diplomatiques, militaires et culturelles dans une fascination réciproque. Ils se sont affrontés, certes mais ils ont su s'allier aussi. Si la peur des Européens et des chrétiens est là, elle est souvent mêlée de curiosité. Le rejet cède à l'attrait, parce qui'il est accompagné par une admiration de l'autre affichée. Loin des clichés de nos manuels scolaires dont l'esprit est parfois animé de préjugés séculaires d'un autre âge, ce livre écrit sur un ton romancé, nous livre une vision autrement plus équilibrée et intéresante des rapports entre deux puissances depuis 14e jusqu'au 20e siècle.
AUGUSTE UNAT
GEORGE SAND
Née le 5 juillet 1804 à Paris, Aurore Dupin, qui plus tard sera connue sous le pseudonyme de George Sand, est la fille d'un officier des armées impériales et d'une ouvrière en modes; le sentiment d'injustice qu'elle éprouvera à cause de ce métissage social sera certainement pour beaucoup dans ses convictions démocratiques. 

Très tôt, elle noircit cahier sur cahier: au couvent des Augustines anglaises où elle est pensionnaire, on la surnomme " miss Calepin ". Comme toutes les jeunes filles de son époque, elle pense que sa vocation naturelle est dans le mariage et les soins d'une famille; elle épouse donc Casimir Dudevant, dont elle a deux enfants, mais se sépare de lui au bout de quelques années pour mener une vie indépendante. 
Ardente féministe, elle revendique pour les femmes le droit au divorce et à l'égalité civile que le code Napoléon leur refuse. Ses premiers romans, Indiana et Lélia, connaissent un grand succès, elle devient célèbre, mais provoque l'irritation de certains de ses contemporains par son comportement : elle s'habille en homme, fume la pipe, monte à cheval comme un Cosaque... Elle s'enthousiasme pour la révolution de 1848 ; en Berry, sur ses terres de Nohant, elle tente d'instaurer " La République au village ", sans grand succès. Elle lance également un journal, La Cause du peuple, et collabore à de nombreuses autres publications. Mais elle réprouve la violence sous toutes ses formes et pense qu'aucune idée, si juste et belle soit-elle, ne justifie le sang répandu. Sous le second Empire, elle continue d'écrire, publiant notamment La Petite Fadette; le théâtre est à cette époque son moyen favori d'expression critique. 
A la fin de sa vie, retirée à Nohant, elle rêve encore de changement pacifique: " Apprenons à être des révolutionnaires obstinés et patients, écrit-elle à un jeune poète, jamais des terroristes. " Elle meurt le 8 juin 1876.
Les œuvres les plus connues de George Sand sont ses romans "paysans" ►
"La Petite Fadette"

"François le Champi"
"La Mare au diable" (écrit en quatre jours)
"Les Maîtres sonneurs"
"Le Meunier d'Angibault"

Mais elle a aussi écrit des contes, des légendes, des romans au réalisme social très marqué, tel "La Ville noire", et de nombreuses pièces de théâtre, ainsi que 24 volumes de correspondance.
LETTRE DE GEORGE SAND A ALFRED DE MUSSET
Je suis très émue de vous dire que j'ai
bien compris l'autre soir que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais bien que ce soit
là une preuve que je puisse être aimée
par vous. Je suis prête à vous montrer mon
affection toute désintéressée et sans cal-
cul, et si vous voulez me voir aussi
vous dévoiler sans artifice mon âme
toute nue, venez me faire une visite.
Nous causerons en amis, franchement.
Je vous prouverai que je suis la femme
sincère, capable de vous offrir l'affection
la plus profonde comme la plus étroite
en amitié, en un mot la meilleure preuve
dont vous puissiez rêver, puisque votre
âme est libre. Pensez que la solitude où j'ha-
bite est bien longue, bien dure et souvent
difficile. Ainsi en y songeant j'ai l'âme
grosse. Accourrez donc vite et venez me la
faire oublier par l'amour où je veux me
mettre.

(Il ne faut lire qu'une ligne sur deux afin de découvrir le sens réel de ce message)

LETTRE D'ALFRED DE MUSSET A GEORGE SAND
Quand je mets à vos pieds un éternel hommage
Voulez-vous qu'un instant je change de visage ?
Vous avez capturé les sentiments d'un cour
Que pour vous adorer forma le Créateur.
Je vous chéris, amour, et ma plume en délire
Couche sur le papier ce que je n'ose dire.
Avec soin, de mes vers lisez les premiers mots
Vous saurez quel remède apporter à mes maux

(Il ne faut lire que le premier mot de chaque phrase)


REPONSE DE GEORGE SAND
Cette insigne faveur que votre coeur réclame
Nuit à ma renommée et répugne mon âme.

(Il ne faut lire que le premier mot de chaque phrase)
LA MARE AU DIABLE
Germain est un jeune homme veuf qui a 28 ans. Il est père de trois enfants; Petit-Pierre, Solange et Sylvain. Tous les quatre vivent chez son beau-père, le père Maurice. Celui-ci lui conseille de se remarier. Jusqu’à ce moment-là la mère Maurice et leur bru ont soigné les enfants de Germain mais maintenant la bru attend un bébé, elle a déjà un tout petit enfant, il est difficile de s’occuper de tous ces enfants-là, c’est pourquoi il faut que Germain se marie. Mais puisqu’il est proche de la trentaine, la femme ne doit pas être trop jeune ni trop âgée. Elle ne doit être ni trop laide ni trop belle, ni trop riche, ni trop pauvre. Germain est le plus bel homme du village mais il n’est pas riche. La femme qu’il se mariera doit convenir à ces conditions. Tout au long de la discussion Germain accepte respectueusement les propos et les conseils de son beau-père mais il aime tellement sa femme qu’il a des soucis. Il préfèrerait vivre seul s’il était possible. Pourtant il accepte qu’il est difficile de continuer à vivre chez son beau-père avec ses enfants et accepte la proposition.
Le père Maurice avait quelqu’un en vue, et il avait tout arrangé. La femme s’appelle Catherine comme sa défunte, son père est son ami c’est le père Léonard que Germain connaissait déjà. Catherine avait un bon bien, ce qui intéresse beaucoup le père Maurice, car Germain ne comprend rien des comptes, l’argent ne l’intéresse point. Il n’est compétent que dans le labour, il travaille la terre, il s’occupe des animaux etc... mais le reste lui est égal. Pour garantir la vie de ses enfants et de celle de ses nouveaux venus il lui doit une femme riche et intelligente qui s’occupera de l’argent. Germain est persuadé. Comme le père Maurice l'a déjà organisé, il doit partir le lendemain, samedi, après-midi; il sera à Fourche à la nuit. Il prendra la jument. Dimanche Catherine et Germain passeront toute la journée ensemble à se connaitre et à plaire l’un et l’autre. Il retournera lundi matin.



Le soir, Guillette, une voisine est venue rendre visite chez le père Maurice. C’est une vieille femme très pauvre qui vit avec sa fille qui n’a que seize ans. Elles survivent difficilement. Le village entier respecte cette femme qui est honnête et bienveillante. Elle demande au père Maurice si leur gendre Germain a décidé de se remarier. Celui-ci lui a raconté leur récente conversation en ajoutant que le lendemain Germain partirait pour Fourche. Sur ce, Guillette a demandé si Germain pouvait emmener sa fille Marie à Ormeaux qui est un village près de Fourche. La jeune fille commencera à travailler comme bergère dans une ferme, étant donné qu’elle ne connait pas le chemin sa mère était déjà inquiète. Le père Maurice accepte volontier la prière de Guillette.


 
Le lendemain Marie est très triste de quitter sa mère, elle pleure sans cesse. Germain est aussi triste de son côté mais l’heure du départ arrivant les deux montent à cheval pour gagner le chemin. Germain s’inquiète car son Petit-Pierre est absent depuis le matin et ils ne se sont pas dits adieu. L’enfant voulait partir avec son père mais son grand-père ne lui a pas permis. Marie dit qu’elle a vu Pierre dans les bois, qu’il jouait avec les autres enfants du village, qu’elle lui avait donné son pain car l’enfant avait faim. Les deux voyageurs parlent de l’enfant, de l’attitude du père Maurice etc... Marie pense que Germain devait emmener son fils et ainsi il pourra observer le comportement de Catherine face aux enfants. Elle ajoute qu’elle peut s’occuper des enfants s’il veut et quand il veut, que ses enfants sont très aimables et intelligents. L’inquiétude reprend Germain, il a peur que sa nouvelle femme maltraite, batte ou haisse ses enfants. Pendant qu’ils devisent ainsi, il remarque quelquechose sous un arbre, c’est Pierre qui dort. L’enfant est parti vers les buissons pour trouver son père il espère qu’ils partiront ensemble. Germain refuse d’abord et lui ordonne de rentrer avant qu’il ne soit très tard. Mais l’enfant insiste et pleure tellement que Marie et Germain ne peuvent plus resister à ses supplications; d’ailleurs Marie prenait parti de l’enfant. Ils se mettent en route. Cette fois-ci l’enfant a faim et soif; ils descendent près d’une aubèrge pour souper. Une heure plus tard ils reprennent la route. La Grise, la jument, ne veut pas continuer depuis le début du voyage, elle veut rentrer à la ferme. D’autre part une brouillard leur empêche de bien voir leur devant. Ils descendent pour que Germain puisse diriger bien le cheval. Elle prend l’enfant dans ses bras en le protégeant du froid. Ils continuent à pied. En essayant de guider la jument et en cherchant la bonne direction ils se sont perdus dans le buisson. Faute d’attention, la Grise s’est sauvée et s’est enfuie vers la ferme. Tous les trois sont restés sans jument et perdus au millieu de la fôret en pleine nuit. Ils décident d’attendre jusqu’à ce que le brouillard se dissipe, quand ils verront clair, ils chercheront une maison car pour le moment ils ne savent pas ce qu’il y a devant ou derrière eux. Ils ne comprennent pas par quel côté ils sont arrivés. Ils sont dans une lande, l’enfant a déjà dormi à cause de la fatigue.



Marie et Germain allument du feu. Germain a faim, Marie cuit les châtaignes qu’elle a ramassés tout au long du voyage. Elle cuit aussi 2 oiseaux qui seraient cadeaux pour le Père Léonard. Il parle de l’habileté de Marie. Tous deux pleurent pour la femme de Germain, elle aimait bcp Marie. Germain dit qu’il ne veut pas perdre sa richesse et son confort. Marie lui donne aussi la bouteille de vin qu’elle n’avait pas bue et qu’elle avait gardée dans sa poche.

Petit-Pierre se réveille, il mange le reste du repas que Marie n’a pas mangé pour que celui-ci mange suffisamment; d’ailleurs elle n’est pas habituée à manger faute d’argent. Elle s’entend très bien avec le garçon. Avant de dormir le petit dit une prière mais comme la prière est longue il oublie la fin alors Marie l’aide à la terminer. Avant de s’endormir l’enfant dit à son père que puisqu’il prendrait une mère il veut que ce soit Marie.

Marie dit qu’elle va veiller pour que Germain dorme mais celui-ci refuse. Ils commencent à parler. La fille est triste de quitter sa mère, elle est soucieuse. L’homme est inquiet pour la fille il veut la rammener chez elle. La fille pense qu’il la décourage. L’homme dit qu’elle doit trouver un mari au lieu d’un travail. La fille dit qu’elle  a besoin d’argent si non on ne l’accepterait pas et qu’elle doit gagner de l’argent pour pouvoir se marier. Alors Germain dit que si elle trouve un riche vieux ce sera convenable. Mais la fille ne veut pas se marier à un vieux. Elle dit qu’un jeune homme comme Bastien est un bon exemple, il a 18 ans, bien qu’il soit malpropre et grossier elle le préfère car il est jeune. Mais bien sûr qu’elle ne se mariera pas, elle attendra peut-être qu’elle devienne plus âgée alors elle pourra se marier avec un vieux dans ce cas-là. Germain dit de se marier avec lui la fille refuse alors il dit qu’elle le deteste qu’il ne lui plait pas. Pourtant la fille est très fatiguée et elle s’endort.

Germain ne peut pas dormir, elle pense à elle, qu’elle est la plus belle fille du pays, qu’elle est très intelligente etc… elle sera une femme idéale pour lui mais que faire il ne peut pas convaincre la famille, ni les villageois, d’ailleurs la fille ne l’aime point. Il est  sur le point de perdre son esprit. Il est minuit le brouillard disparait les étoiles apparaissent dans le ciel. Marie se réveille et ils se mettent en route, l’enfant est dans les bras de Germain il protège aussi  du froid la fille en la couvrant par son manteau. Ils marchent deux heures mais ils se retrouvent à côté du feu qu’ils avaient allumé.

Germain est très en colère de cette situation la fille lui dit que ce n'est pas grave, qu’ils pourront allumer un feu plus grand pour se chauffer. La fille a bien froid Germain essaie de la chauffer  en prenant ses mains dans les siens. Il avoue ses sentiments envers elle et tente de la persuader pour qu’elle se marie avec lui. La fille refuse elle dit qu’elle l’aime comme on aime son père ou son frère, que si elle se marie pendant la cérémonie les filles du village se moqueront d’elle. Germain dit que ce sont des pensées d’enfant. Desormais ils ne parlent plus. Ils attendent impatiemment que le soleil se lève. Elle a peur de l’attitude de Germain. Le matin ils se mettent en route, ils voient un bucher à qui ils demandent la route d’Ormeaux et de Farce ainsi que s’il a vu son cheval. L’homme leur indique les deux chemins et dit que le cheval perdu se trouve dans son écurie. Alors Marie propose d’emmener l’enfant avec elle car il est malpropre et negligé. L’enfant est très content de partir avec Marie. Germain dit à son fils qu`il doit persuader Marie de se marier avec lui, le fils promet. Tous deux sont partis, Germain reste seul.

Germain se nettoie et va chez Père Léonard. Celui-ci l’accueille bien mais lui dit qu’il ya dans le salon encore 3 prétendants avec qui Germain sera adversaire. Léonard préfère Germain en raison de sa famille et de sa richesse mais la décision sera celle de sa fille car elle est majeure et maitresse de ses biens. Germain est en colère mais on insiste pour qu’il entre à la maison. L’attitude les vêtements et la mine de la femme ne plaisent pas à Germain. Les autres sont assis autour d’une table remplie de viande et de vin. Ils mangent et boivent à leur aise. Quand l’heure de la messe arrive tous ensemble ils partent pour l’église. Germain va régulièrement à l’église c’est pourquoi même s’il ne veut pas les accompagner il y part.

Après la messe Catherine danse avec ses prétendants. Léonard propose à Germain de danser avec sa fille mais Germain refuse. La femme veut flirter avant de se marier mais depuis deux ans malgré ses efforts elle n’y arrive pas. Germain dit à Léonard qu’il est venu chez lui non pas pour sa fille mais pour acheter 2 paires de boeufs pour les vendre à la foire. Léonard comprend l’intention de Germain et accepte. Germain va aux écuries pour choisir les animaux mais en route il décide de passer par Ormeaux pour voir son fils. Quand il y arrive il demande la fille et le garçon. Un berger lui dit que la fille est partie aussitôt qu’elle est arrivée. Ce qu’on sait c’est que la fille est partie avec le garçon qui pleurait justa après avoir parlé avec le maitre de la ferme.  Germain veut voir le maitre mais il est absent. Alors il demande aux autres on dit que les deux sont partis ves Fourche. Germain rentre chez Léonard, la servante dit qu’ils y sont venus mais étant donné qu’elle ne les connaissaient pas elle les a envoyés. Germain est furieux, il prend son cheval monte dessus et part pour demander aux environs. On dit qu’on leur a donné du pain car ils ressemblaient à des mendiants à cause de leurs habits déchirés. La filla a accepté un morceau de pain pour le petit et tout de suite après ils sont partis pour les bois et maitre des Ormeaux les suivait. Alors Germain comprend que maitre est un  homme méchant il part au galop lui aussi pour les bois.

Il passe par l’endroit où ils étaient la veille au soir. Une vieille femme ramassait les bois de la veille elle est sourde et ne comprend pas ce que lui demande Germain. Elle dit que cet endroit s’appelle « La mare au diable », que c’est un mauvais endroit. Il faut s’approcher là après avoir jeté 3 pierres par la main gauche si non il apporte un malheur. De même que si on part sans attendre le lever du soleil on retourne au même endroit si loin qu’on soit parti. Germain a peur et il part pour trouver Marie et son fils. En route il les appelle il fait du bruit pour qu’ils l’entendent. Soudain il entend une voix c’est maitre des Ormeaux. Celui-ci lui demande s’il a vu une fille et un garçon. Germain lui demande pourquoi. Maitre dit que la fille est venue travailler à sa ferme mais qu’elle est très faible, qu’il ne veut pas cette fille mais qu’il veut payer la somme du voyage, pourtant la fille est très vite partie et il la cherche pour lui rendre son argent. Germain dit qu’il la connait et lui propose de la chercher ensemble. Plus tard, derrière un arbre il aperçoit Petit–Pierre et l’appelle. L’enfant entendant la voix de son père sort de sa cachette mais dès qu’il voit l’autre il a peur. Germain lui dit de ne pas avoir peur, il appelle Marie aussi, celle-ci court vers lui et l’embrasse. Maitre veut parler avec Marie la fille hésite Germain lui dit de ne pas avoir peur qu’il est près de lui. Alors Marie s’approche du maitre qui lui donne un Louis en or. Il lui dit qu’il lui rendra visite quelques jours plus tard. Alors Marie lui jette au visage la monnaie et lui dit que s’il vient les jeunes de son village l’accueilliront de bonne volonté! sur ce, Germain le fait descendre de son cheval et la dispute commence; Germain l’atterre et lui demande de s’excuser. L’homme dit qu’il peut s’excuser en échange d’un baiser alors Germain le jette par terre et lui casse le baton. Il prend la fille et son fils par la main et ils partent pour rentrer chez eux.

Pendant le retour Petit-Pierre a raconté ce qui s’était passé. Le maitre  était venu près de Marie et l’avait embrassée sans s’en apercevoir de Pierre qui jouait dans la crèche. L’homme a dit qqch de vilain alors Marie a voulu s’en aller l’homme l’a empêchée alors Pierre s’est jeté contre Marie. L’homme étonné de voir un garçon s’est fâché il a voulu battre Pierre. Marie l’a empêché en disant qu’elle l’emmenerait à la Fourche et qu’elle rentrerait. Quand l’homme est sorti ils ont décidé de quitter tout de suite cet endroit-là. A fourche, ils ont cherché Germain mais on ne les a pas permis d’attendre. Alors ils sont partis pour les bois mais l’homme les suivait c’est pourquoi ils se cachaient. Marie a demandé à Germain de rendre témoignange pour elle en rentrant au village. L’enfant n’avait pas eu le temps de dire à Marie d’épouser son père mais au retour il lui dirait autant qu'à sa grand-mère. Germain a trouvé ça raisonable, il en parlerait à sa famille. La nuit ils sont rentrés, Germain a raconté l’aventure à sa famille, les beaux-parents ont donné raison à l’attitude de Germain. Après ce jour-là on a fait semblant de tout oublier mais Germain était triste. Il savait que Marie souffrirait de misère pendant l’hiver car elle ne travaillerait point pourtant chez elle il y avait un miracle; leur provision de bois ne diminuait pas, son hangar se trouvait rempli le matin. La vieille Guillette s’inquiétait bcp mais les deux femmes ne disaient rien à personne de peur qu’on ne les tienne pour sorcière. Quant à Marie, elle savait la source de ce miracle mais n’en parlait rien à Germain.

Un jour la Mère Maurice a parlé avec Germain elle lui a dit de se remarier mais les femmes qu’on lui conseillait ne lui convenaient pas. Germain est triste d’avantage. La mère lui dit de se marier avec la personne qu’il veut, soit riche ou pauvre, jeune ou vieille; il suffit que Germain soit heureux. Germain lui dit que la femme qu’elle aime ne l’aime pas. La mère a promis de persuader la fille qui refuse Germain. Mais Germain par honte n‘a pas osé de lui dire le nom de la fille. Quand la mère s’éloigne il lui chuchotte « Marie  à la Guillette ». La mère Maurice était très surpris par ce nom. Germain lui explique la raison pour laquelle Marie ne veut pas se marier avec lui; c’est que le père et la mère Maurice lui ont toujours fait du bien, que sa famille leur doit bcp et qu’elle ne veut point les déplaire en détournant Germain d’un mariage riche. D’après la Maurice si Marie a dit cela elle prouve de bons sentiments et elle est honnête. Et si elle dit qu’elle n’aime pas Germain c’est pour l’éloigner d’elle, alors il faut aimer cette fille. La mère Maurice a demandé à Germain d’être tranquille toute la semaine et qu’elle essayerait de persuader son mari. La semaine est passée ainsi.

Dimanche matin à la sortie de la messe la mère Maurice a dit à Germain de parler et de persuader  Marie car le père Maurice l’autorise. Germain obéit. Il va chez la Guillette. Marie était seule au coin du feu, quand elle a remarqué Germain elle a sauté de surprise. Germain lui a dit que ses beaux-parents veulent qu’il épouse Marie. Elle lui demande s’il en est sûr. Germain assure son amour alors Marie commence à trembler. Germain a peur de lui faire mal et de la rendre malheureuse. La fille le regarde les larmes aux yeux et lui demande s’il n'a  jamais deviné qu’elle l’aimait. Germain deviendrait fou si à ce moment–là son fils n’entrait pas dans la salle. Germain était très heureux. Ils seraient désormais famille.
LAISSEZ FAIRE, LAISSEZ PASSER
La célèbre formule est généralement attribuée à Vincent de Gournay qui en avait fait sa maxime : "laissez faire, laissez passer, le monde va de lui même". Encore que personne ne sache vraiment où et quand Gournay aurait prononcé ces mots. Selon une rumeur, ce serait à l'occasion d'un discours de 1758, mais il n'y a aucune preuve.
En fait, on ne dispose que d'indices et de présomptions. Il y a tout d'abord Claude-Camille-François, Comte d'Albon, qui écrit, en 1775, dans son "Eloge Historique de M. Quesnay" (p. 136-7)►

Les prohibitions restreignent le travail, les taxes le renchérissent & le surchargent, les privileges exclusifs le font dégénérer en monopole onéreux & destructeur ; il ne faut donc sur ce travail, ni prohibitions, ni taxes, ni privileges exclusifs. C'est ici que Quesnay s'est rencontré avec le sage M. de Gournay, Intendant du Commerce, son Contemporain, qu'il estima, qu'il aima & sur la personne & sur les disciples duquel il se plaisoit à fonder une partie de l'espoir de sa patrie. M. de Gournay étoit arrivé à ce résultat pratique, par une route différente : personne, disoit-il, ne sait si bien ce qui est utile au commerce que ceux qui le font; il ne faut donc point leur imposer des réglements.Personne n'est si intéressé à savoir si une entreprise de commerce, si un établissement de fabrique, si l'exercice d'une profession lui sera profitable ou non, que celui qui veut le tenter ; il ne faut donc ni corporations, ni jurandes, ni privileges exclusifs. Personne ne peut être sûr de tirer le plus grand profit de son travail, s'il n'est pas libre de le faire comme il l'entend, & s'il est soumis à une inquisition & à des formalites gênantes. Tout impôt sur le travail ou sur le voiturage, entraîne des inquisitions & des gênes qui dérangent le commerce, découragent & ruinent les Commerçants ; il faut donc affranchir leurs travaux de ces impôts qui en interceptent le succès... "Laissez-les faire et laissez-les passer".

Le second témoignage en faveur de Gournay se trouve dans l'édition par DuPont de Nemours des oeuvres complètes de Turgot. Dans son introduction à "l'Eloge de Vincent de Gournay", Dupont écrit : "Gournay est l'auteur de la célèbre formule Laissez-faire et laissez-passer" (Oeuvres de Turgot, Vol. I, p.257, Daire ed., 1808-11), puis, quelques pages plus loin : "Gournay en conclut qu'il ne fallait jamais rançonner ni règlementer le commerce. Il en tira cet axiome : "Laissez faire et laissez passer" (p.259). Mais, là encore, aucune précision quant à la date ou le lieu.

Il n'y a donc pas de certitude. Mais faute d'autre candidat, on peut valablement attribuer à de Gournay l'invention d'une maxime qu'il a, plus que tout autre, contribué à populariser.


La formule "Laissez-faire" est, quant à elle, plus ancienne. On l'attribue généralement au marchand Le Gendre ou au Marquis d'Argenson. Dans son "Eloge de Vincent de Gournay" (1759), Turgot écrit ainsi, sans plus de précision►

"Il faut dire encore que ce prétendu système de M. de Gournay a cela de particulier, que les principes généraux en sont à peu près adoptés par tout le monde; que, de tout temps, le voeu du commerce chez toutes les nations a été renfermé dans ces deux mots: liberté et protection, et surtout liberté. On sait le mot de M. Le Gendre à M. Colbert: laissez-nous faire".


John Maynard Keynes, se basant sur Oncken, en pince plutôt pour le Marquis d'Argenson qui aurait employé l'expression dans un envoi anonyme au Journal des Economistes en 1751►

- 'Pour gouverner mieux, il faudrait gouverner moins.’
- 'La vraie cause du déclin de nos fabriques, c'est la protection outrée qu'on leur accorde.'
- 'Laissez faire, telle devrait être la devise de toute puissance publique, depuis que le monde est civilisé. Détestable principe que celui de ne vouloir grandir que par l'abaissement de nos voisins! Il n'y a que la méchanceté et la malignité du coeur de satisfaites dans ce principe, et l’intérêt y est opposé. Laissez faire, morbleu! Laissez faire!!'

En réalité, l'expression "Laissez faire" vient de beaucoup plus loin. On la trouve par exemple chez le jésuite espagnol Balthazar Gracián, qui écrivait en 1647►

L’art de laisser aller les choses comme elles peuvent.
Il y a des tempêtes et des ouragans dans la vie humaine ; c’est prudence de se retirer au port pour les laisser passer. Très souvent les remèdes font empirer les maux. Quand la mer des humeurs est agitée, laissez faire la nature ; si c’est la mer des mœurs, laissez faire la morale. Il faut autant d’habileté au médecin pour ne pas ordonner que pour ordonner ; et quelquefois la finesse de l’art consiste davantage à ne point appliquer de remède. (…) Une fontaine devient trouble pour peu qu’on la remue, et son eau ne redevient claire qu’en cessant d’y toucher. Il n’y a point de meilleur remède à de certains désordres que de les laisser passer, car à la fin ils s’arrêtent d’eux-mêmes.

Appliquée à l'économie, l'expression et l'idée du Laissez-faire fait son apparition en 1707 dans le mémoire de Pierre Le Pesant de Boisguilbert► "De la nature des richesses, de l'argent et des tributs". C'est la première apparition rigoureuse de la doctrine libérale en économie, selon Gilbert Faccarello, et même l'acte fondateur de l'économie politique selon Henri Denis.
Pour Boisguilbert, les interventions intempestives de l'Etat sont à l'origine des disettes et de la pénurie de toute chose; elles nuisent à la prospérité du royaume et, partant, à ses finances publiques. Dans ces conditions, l'intérêt bien compris commande au Prince de "laisser faire la nature"

Tant qu'on laisse faire la nature, on ne doit rien craindre de pareil", et "ce n'est que parce qu'on la déconcerte, et qu'on dérange tous les jours ses opérations, que le malheur arrive." D'où ce conseil au Souverain : "il n'est pas question d'agir, il est nécessaire seulement de cesser d'agir avec une très grande violence que l'on fait à la nature, qui tend toujours à la liberté et à la perfection".


On croirait entendre Lao-Tseu, sans doute le véritable inventeur de la doctrine du Laissez-faire. Parce que "le gouvernement, avec toutes ses lois et ses règlements plus nombreux que les poils d'un buffle, est un oppresseur vicieux de l'individu et doit être plus craint que des tigres cruels", Lao Tseu adressait à l'Empereur ce sage conseil►

"Plus il y a d'interdits et de prohibitions, plus le peuple s'appauvrit... Plus on publie de lois et de règlements, plus il y a de voleurs et de brigands... C'est pourquoi le Sage dit: je ne prend aucune initiative et le peuple se transforme de lui-même ... Je ne m'engage dans aucune activité et le peuple s'enrichit de lui-même..."

AUTEURS et LEURS OEUVRES

  • Louis Aragon (20ème siècle)
  • Samuel Beckett - "En Attendant Godot" (20ème siècle - Théâtre)
  • Eugène Ionesco - "La Cantatrice Chauve", "Rhinocéros" (20ème siècle - Théâtre)
  • Aimé Césaire - "Cahier du Retour au Pays Natal" (20ème siècle)
  • Jacques Prévert - "Paroles" (20ème siècle)
  • Marguerite Yourcenar - "Alexis ou Le traité du Vain Combat" (20ème siècle)
  • André Breton - "Nadja" (20ème siècle)
  • Jean Cocteau - "Les Enfants Terribles" (20ème siècle)
  • Jean-Paul Sartre - "Huis Clos", "Les Mouches", "La Nausée", "Le Mur" (20ème siècle)
  • Albert Camus - "L'Etranger", "La Peste" (20ème siècle)
  • Colette - "Les Séries de "Claudine" (20ème siècle)
  • Guillaume Apollinaire - "Calligrammes" (20ème siècle - Poésie)
  • André Gide - "Les Nourritures Terrestres", "La Symphonie Pastorale", "Les Caves du Vatican", "Les Faux Monnayeurs" (20ème siècle)
  • Paul Verlaine - "Romances Sans Paroles" (19ème siècle - Symbolisme)
  • Arthur Rimbaud - "Le Dormeur du Val" (19ème siècle - Symbolisme)
  • Mallarmé - "Poésies" (19ème siècle - Symbolisme)
  • Charles Baudelaire - "Les Fleurs du Mal", "L'Etranger" (19ème siècle - Symbolisme)
  • Emile Zola - "Germinal", "L'Assommoir", "Thérèse Raquin", La Bête humaine" (19ème siècle, Naturalisme)
  • Guy de Maupassant - "Papa de Simon", "L'Auberge", "Aux Champs", "La Ficelle", "Pierrot", "Toine", "La Bête du Maitre Belhomme", "La Parrure", "La Dot", "La Rempailleuse" (19ème siècle - Réalisme)
  • Alexandre Dumas - "Les Trois Mousquetaires", "Le Comte de Monte Cristo", "La Reine Margot" (19ème siècle)
  • George Sand - "La Petite Fadette", "La Mare au Diable" (19ème siècle)
  • Gustave Flaubert - "Madame Bovary", "Salammbô", "L'Education Sentimentale" (19ème siècle - Réalisme)
  • Honoré de Balzac - "Le Père Goriot", "Eugénie Grandet", La Peau de Chagrin", "Le Colonel Chabert", "Le Lys dans La Vallée", "Illusions Perdues", "Le médecin de Campagne", "Les Chouans" (19ème siècle - Romantisme et Réalisme)
  • Stendhal - "Le Rouge et Le Noir", "La Chartreuse de Parme", "Vie de Rossini" (19ème siècle - Romantisme et Réalisme)
  • Victor Hugo - "Notre Dame de Paris", "Les Misérables", "Le Dernier Jour d'Un Condamné", "Les Orientales", "Hernani", "Cromwell", "William Shakespeare" (19ème siècle - Romantisme)
  • Gérard de Nerval - "Odelettes" (19ème siècle - Romantisme, poésie)
  • Alfred de Vigny - "La mort du Loup" (19ème siècle - Romantisme, poésie)
  • Alfred de Musset - "Les Caprices de Marianne" (19ème siècle - Romantisme, théâtre)
  • Alphonse de Lamartine - "Méditations Poétiques" (19ème siècle - Romantisme, poésie)
  • Bernardin de Saint-Pierre - "Paul et Virginie" (19ème siècle - Préromantisme)
  • Madame de Staël - "Colline et Delphine", "De l’Allemagne" (19ème siècle - Préromantisme)
  • Senancour - "Oberman" (19ème siècle - Préromantisme)
  • Benjamin Constant - "Adolphe" (19ème siècle - Préromantisme)
  • François René de Chateaubriand - "Mémoires d'Outre-Tombe", "René" (19ème siècle - Préromantisme)
  • Le Sage - "Gil Blas de Sentillane" (18ème siècle)
  • Marquis de Sade - "Justine ou Les Malheurs de la vertu", "Les 120 jours de Sodome" (18ème siècle)
  • Choderlos de Laclos - "Les Liaisons Dangereuses" (18ème siècle - Roman Epistolaire)
  • Jean-Jacques Rouseau - "Emile ou de L'Education", "Les Confessions", "Julie ou La Nouvelle Héloïse" (18ème siècle)
  • Voltaire - "Candide", "Zadig", "Micromégas" (18ème siècle)
  • Diderot - "Le Neveu de Rameau" (18ème siècle)
  • Beaumarchais - "Le Barbier de Séville", "Le Mariage de Figaro" (18ème siècle - Théâtre)
  • Marivaux - "Le Jeu de L'Amour et du Hasard" (18ème siècle - Théâtre)
  • Montesquieu - "L'Esprit des Lois", "Les Lettres Persanes" (18ème siècle)
  • Jean Racine - "Andromaque", "Bérénice", "Britannicus", "Phèdre", "Iphigénie" (17ème siècle - Tragédie)
  • Pierre de Corneille - "Le Cid" (17ème siècle - Tragédie)
  • Molière - "L'Avare", "Le Bourgeois Gentilhomme", "Les Précieuses Ridicules", "Dom Juan", "Le Malade Imaginaire", "Tartuffe", "L'Ecole des Femmes", "Amphitryon", "Les Fourberies de Scapin", "Les Femmes Savantes" (17ème siècle - Comédie)
  • Madame de la Fayette - "La Princesse de Clèves" (17ème siècle)
  • Jean de La Fontaine - "Les Fables" (17ème siècle)
  • Joachim du Bellay - "Regrets" (16ème siècle)
  • Pierre de Ronsard - "Sonnets pour Hélène", "Sonnets pour Marie", "Sonnets pour Cassandre" (16ème siècle)
  • Michel de Montaigne - "Les Essais" (16ème siècle)
  • Thomas More - "L'Utopie" (16ème siècle)
  • Erasmes de Rottherdam - "L'Eloge de la Folie", "Les Antibarbares" (16ème siècle)
  • François Rabelais - "Gargantua" , "Pantagruel" (16ème siècle)